Russian Silence
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 • Léandra E. Wilson

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Léandra E. Wilson
Psychedelicious witch
Léandra E. Wilson

Messages : 172
Age : 41
Localisation : Sur mes pieds. Les deux.

WHO AM I ?
Rang: Sorcière de l'Assemblée
Pouvoir(s): Medium, Télépathe, Don de guérison
Amis, amants, tourments :

• Léandra E. Wilson Vide
MessageSujet: • Léandra E. Wilson   • Léandra E. Wilson Icon_minitimeSam 8 Mai - 18:38

Wilson, Léandra Elina

feat NATALIA VODIANOVA




• RACE: Sorcière

• AGE : 27 ans

• DATE & LIEU DE NAISSANCE : 29 septembre 1983, Californie

• NATIONALITÉ / ORIGINES : Anglo-russe, avec un soupçon d'Amérique

• STATUT: Sorcière de l'Assemblée

• LIEU DE RÉSIDENCE : Manoir Wilson

• Léandra E. Wilson 035
©️ Javen


« Who are you ?! »

« Who ?! Who ?! Who ?! Who ?!! »


• « WHO DO YOU THINK YOU ARE ? » Et si tu me parlais un peu de toi, mon chou ? Voyons, installe-toi sur le divan et raconte moi ton histoire ! Tu es libre de me dire ce que tu veux, m'enfin, n'oublie pas que c'est mieux si j'en sais un maximum sur toi... Ton enfance, ta façon de voir les choses, tes relations, tes goûts, les étapes importantes de ta vie, ton caractère, tes envies, tes particularités, ta transformation peut-être ainsi que ta place ici... sache que tout cela m'intéresse, mon ami !

Je m’appelle Léandra Elina Wilson. J’ai 27 ans, je suis une sorcière et je vis à St Pétersbourg. Mais peut-être voulez-vous que je reprenne les choses depuis le début, non? D’accord, très bien, faisons cela.

Je suis donc née le 29 septembre 1983, en Californie, pas loin de Los Angeles à ce qu’on m’a dit. Comme nous tous, je n’ai aucun souvenir de ma naissance, mais je sais qu’elle se fit dans un combi Volkswagen bleu ciel. Ne faites pas cette tête, vous croyez que mes parents avaient les moyens et la volonté de me mettre au monde dans un ce ces hôpitaux totalement aseptisés et dépourvus de toute énergie vitale? Enfin, vous comprendrez plus tard de quoi je parle. Où en étais-je? Ah oui fort bien.

Donc je naquis en enfant des routes, cela semble bizarre mais je crois que, pendant un moment, je ne me rendais pas compte de ma différence. Moi j’ai fait mes premiers pas dans le désert, j’ai dormi entre mes parents, à l’arrière d’un van aménagé jusqu’à mes six ans, je n’ai jamais été voir un médecin de ma vie et surtout, j’ai des pouvoirs magiques. Ne me regardez pas comme ça voyons, je ne suis pas un animal de foire. Et puis cela a toujours fait partie de moi, comme chaque être dans ma famille depuis des générations.

Je descends en effet d’illustres famille de sorciers, une branche anglaise de part mon père, William Wilson et une branche russe, de part ma mère Elvira Baranov. Ce sont des gens merveilleux, ils se sont rencontrés alors qu’ils faisaient tous deux leurs études à Stanford et puis, ensemble, ils ont quittés cet univers trop étriqué pour leurs idées et leurs dons extraordinaires. Ce sont devenus des hippies, vivant sur les routes en communion avec la nature, sans s’attacher à aucune communauté de sorciers. Ce ne sont pas des gens associables, ils ont simplement fait valoir un certain désir de liberté, d’indépendance, de découverte. Ce sont sans aucun doute des valeurs qu’ils m’ont transmises, ainsi que leur savoir et leur incroyable bonté envers autrui.

J’ai été élevée dans l’idée qu’il fallait aimer son prochain et lui venir en aide, de quelque manière que ce soit. Il n’est sans doute pas anodin que mon don ce soit avéré être l’art de guérir. J’ai un talent, que ma chère mère dit inouïe, pour préparer les potions et les pommades soignantes. Mais outre cet aspect technique de mes dons, j’ai la capacité de manipuler l’énergie magique afin de panser les blessures et apaiser les maux. Ce n’est pas aussi simple que ça en à l’air, je ne suis pas une sorte de super héroïne qui peut soigner des blessures par balle et mon talent a ses limites, comme toute chose en ce bas monde. Mais mes capacités peuvent se révéler utiles et la première fois que j’en fis montre, ce fut vers l’âge de sept ans, pour sauver un chaton d’une morsure de serpent. Etranges circonstances, mais mes parents disent que cela est signe de ma volonté d’aider, que mon don est un don de communication et d’échange. Ainsi il n’est pas innocent que mon prénom sorcier, Elina, vienne du latin qui veut dire « apaiser la douleur ».

Mes parents m’ont donc tout appris lors de nos périples le long des Etats du Sud et j’ai fréquenté diverses écoles. Mais ce ne sont pas elles qui ont fait de moi la femme que je suis aujourd’hui. J’y ai juste appris qu’il existait autre chose, elles ont élargi mon horizon. Tout le monde n’a pas mon ouverture d’esprit, ou celles de mes parents. J’ai connu des enfants cruels, qui me traitaient de sale gitane et se moquaient de mes grandes robes colorés et de mes bonnets péruviens. J’ai vu dans ces écoles toute la cruauté, la stupidité, la bêtise et la violence que le monde d’aujourd’hui a inculqué à ces jeunes esprits studieux. Tout ce que j’ai aujourd’hui en horreur. Mais rassurez-vous, aucune des moqueries de mes petits camarades ne fut un traumatisme pour moi, c’était un apprentissage. L’apprentissage de la vie, que je ne pouvais pas faire simplement à l’arrière de mon Combi. Mais j’en ai appris des choses, dans mon petit lit-placard, plus que vous ne le pensez sans doute.

Si l’on dit aujourd’hui de moi que je suis cultivée, ce que je me plais à croire comme assez vrai, c’est grâce à cette éducation. Je n’ai jamais été abrutie par la télévision et mon ouverture sur le monde à moi était la radio et les journaux. Et les livres. Et les vinyles, les Cds, les VHS et plus tard les DVD. Mais ma passion première reste les livres et ces vieux « grands Cds » comme l’a dit un jour une charmante petite fille que j’ai connu. J’ai grandi au milieu d’eux, il y avait des livres partout, dans différentes langues, sur les meubles, au fond du van, dans les petits placards, les doubles fonds… Ma culture n’était pas dans les bibliothèques bien rangées, elle était là, accessible, disponible.

Et puis elle était dans les musées que mes parents me faisaient visiter, les discussions que nous avions, les histoires qu’ils me racontaient. Certains disent qu’il est normal d’entrer en crise avec ses parents un jour ou l’autre. Moi, ça ne m’est jamais arrivé. Ils sont tout pour moi, enfin presque. Je ne connais en tout cas aucune personne que je respecte et admire plus que mon père et ma mère et je ne les remercierait sans doute jamais assez, de tout ce qu’ils ont pu faire pour moi, de tout leur amour et leur générosité. C’est grâce à eux que je suis une jeune femme sage et posée, calme et pacifiste. Peut-être m’ont-ils rendu faibles, avec mes beaux principes et ma foi en l’amour. Je ne le pense pas personnellement, je suis forte, libre, indépendante. Enfin je le pense. Ne me croyez pas prétentieuse, j’essaie simplement d’être honnête avec moi-même et envers vous. Comme toujours…

Mais reprenons le fil de mon histoire. J’ai désormais onze ans et ma mère est en train de m’expliquer que nous allons partir très loin de l’Amérique et du Mexique et que nous allons avoir une vraie maison, dans une grande ville, très loin d’ici. On ne me prend pas pour une idiote, ma mère aurait estimé que c’était m’insulter, et l’on m’expliqua le pourquoi du comment de ce déménagement et de ce changement de vie. Ma grand-mère maternelle est morte, là-bas à St-Pétersbourg ville de mes ancêtres. Ma mère a les larmes aux yeux en me racontant cela et je me souviens l’avoir serrée dans mes bras avec force. Déjà, j’avais une certaine empathie pour les autres… Mais Babouchka, que je n’aurais jamais la joie de connaître, avait un rôle important dans ce pays inconnu. Elle tenait une boutique de magie, un endroit très important pour les gens de la communauté. Maman m’expliqua d’ailleurs ce qu’était cette fameuse communauté. Et elle me dit qu’il fallait que nous allions là-bas et que maintenant, ce serait-elle qui s’occuperait de ce magasin et qu’ensuite ce serait mon tour. Cet endroit devait être transmis au sein d’une même famille, dans la mesure du possible.

Et en l’occurrence ça l’était, puisque nous prîmes l’avion pour cette superbe ville qui me charma dès mon plus jeune âge. J’avais désormais accès à un immense manoir, dont la moitié tenait par une sorte de miracle cosmique, un grand jardin complètement anarchique et une boutique absolument… magique, sans faire de mauvais jeux de mots. Ma maison est en endroit accueillant, je n’arrive pas à me souvenir d’une quelconque époque où elle a été vide ou triste. Depuis que nous habitons là, nous vivons avec d’autres gens, que nous ne connaissons pas tous très bien. Mais ils n’ont généralement nulle part d’autre où aller, alors nous les recevons, pour la durée dont-ils ont besoin. Vous trouvez cela ridicule? En attendant, cela donne de la vie à mon grand manoir un peu délabré et c’est l’essence même d’une communauté magique. Donner, échanger, aimer.

Comme cette petite fille blonde, aux yeux vairons et à l’air bravache qui vint chez moi un beau matin durant ma douzième année. Elle n’est jamais partie d’ailleurs. Elle, c’est Alys, ma sœur de cœur. C’est comme si elle avait toujours été là, ce qui est plus ou moins le cas d’ailleurs. Elle est une des personnes que j’aime le plus au monde, nous avons tant partagé. Et puis, on a tout fait ensemble ou presque. Le collège, ce qui n’a rien de très intéressant, hormis quelques frasques d’Alys sur la fin. Je ne dirai jamais que c’est elle qui m’a entraînée dans mes bêtises d’adolescentes ou mes premières expériences, ce serait exagérer l’influence qu’elle peut avoir sur moi. Disons que j’ai préféré les faire avec elle, plutôt que de la laisser fumer son premier joint en compagnie de parfaits inconnus, qui aurait pu lui faire aller savoir quoi. Maternelle? Je le suis peut-être un peu avec elle, mais je suis ainsi avec les gens que j’aime le plus, j’ai besoin de les savoir protéger. Mais bon, je sais qu’elle se débrouille comme une grande et que je n’ai pas besoin de la couver. Je veille sur elle d’un œil, parce qu’elle est ma sœur.

Puis arrivèrent mes seize ans et le lycée, mais surtout, surtout l’Initiation. C’est une étape cruciale dans la vie d’un sorcier et je n’ai pas dérogé à la règle. C’est une expérience assez indescriptible, mais je tâcherai de vous en dresser un tableau. L’initiateur, celui qui prend en charge votre formation et dans mon cas, ma mère, vous plonge dans une transe. Cela se fait grâce à un philtre et un rituel, dont je vous passerai les détails, et au cours de cette transe le nom sorcier nous est révélé. Le mien est apparu par le biais d’une sorte de fée que j’ai vu en rêve, qui m’a murmuré ces quelques syllabes à l’oreille: Elina. C’est désormais le nom par lequel on m’appelle lors des cérémonies et des rites, celui avec lequel je peux invoquer les esprits.

Mon adolescence par la suite ne fut pas particulièrement chaotique. J’allai en cours normalement, bien qu’il m’arrivait de sécher les maths ou les sciences parfois, mais je n’étais pas une élève à problèmes. On lisait sur mes bulletins des choses du genre « élève brillante mais pas assez consciencieuse » et autres « des capacités mais un certain manque de discipline ». On ne m’accusait pas d’insolence, j’étais juste de ces enfants qui n’entrent pas dans les cases, qui ne s’adaptent pas au système. Et Alys non plus, à sa manière. Nous avons fait nos frasques, nos fêtes et connu des déboires amoureux et des relations variées. Somme toute, j’ai connu une adolescence ordinaire, sauf que j’étais une sorcière. Cela voulait dire que j’avais des obligations et des choses en plus à apprendre.

Si je ne passionnais que partiellement à mes études, en fait à part la littérature, le français, l’histoire et l’art tout cela ne m’intéressait guère, je devins vite assidue en magie. Ma mère était une pédagogue de talent, elle m’inculqua à moi et à Alys l’essence même de la sorcellerie. L’apprentissage fut long, il continue d’ailleurs en un sens et c’est toujours vers ma mère que je me tourne quand je rencontre une difficulté. Elle m’a donc appris à manipuler mes dons avec plus de précision, à préparer des rites et des cérémonies et à faire des potions. Il s’avère que j’ai été une brillante élève, mon père disait souvent que « c’était dans les gênes », avec son éternel ton pince-sans-rire. Si j’ai plus été en contact avec ma mère, puisqu’elle a été mon initiatrice, j’adore mon père. Il est plein d’humour et excessivement intelligent et cultivé. J’aimerais pouvoir être un jour le parfait mélange entre mes parents, ce serait merveilleux sans doute.

Finalement, notre instruction prit fin, bien que ce soit le genre de choses qui ne s’arrêtent jamais vraiment. Ma mère avait décrété que j’étais suffisamment raisonnable et aguerrie pour accomplir mon premier rite d’invocation à la Nature. C’est assez basique, je l’ai fait lors d’un Sabbat, mais il faut bien commencer quelque part. J’avais 19 ans et c’était la première fois que j’utilisais la magie sans l’encadrement spirituel et magique d’Elvira. Ce fut assez déroutant, je remarquai des regards interrogateurs ou flatteurs dans l’assistance. Je compris alors que j’avais particulièrement bien réussi mon coup, apparemment seule ma mère avait fait une première tentative aussi impeccable que la mienne. J’en ai été extrêmement flattée à l’époque, même si je concède désormais que mon attitude a été parfaitement enfantine et risible. La fierté est une chose ridicule, chacun sait ce qu’il vaut et doit s’en accommoder, pas l’étaler à la face du monde. Que ce soit dans un sens positif ou négatif d’ailleurs.

Une fois mon initiation brillamment complétée, j’ai dû alors réfléchir sérieusement sur ce que j’allai faire de ma vie. Personnellement, il ne me paraissait pas vraiment concevable de me contenter d’aller à l’université et suivre des cours qui ne me serviraient jamais à rien, alors que j’avais la magie. J’étais bien inconsciente à l’époque et ma réussite avait dû me monter à la tête. Je ne méprisais pas les humains, non jamais, mais leur enseignement me paraissait bien fade. Toutefois, à force de longue discussions, j’ai compris que même si j’étais sûrement vouée à reprendre cette fabuleuse boutique, je ne devait pas m’arrêter là. Je suis donc allée à l’université de St-Pétersbourg, où j’ai suivi des cours d’histoire de l’art, de la musique et du théâtre, avec formation pratique. Ce fut bien plus passionnant que je ne l’aurais cru, j’y ai vu de merveilleuses choses et cela a sans doute contribué à mon éveil culturel, artistique mais aussi humain. Je suis devenue considérablement plus sereine et avide de vie après mes cinq ans de faculté. J’ai également découvert de nouveaux individus, des jeunes gens qui, s’ils me trouvaient bizarres, n’en montraient rien. C'était des gens adorables, sincèrement gentils et ouverts aux autres. Je garde un excellent souvenir de mon passage à l’université et des amis que je m’y suis fait, même s’ils ne pourront jamais me connaître vraiment. Tant pis, j’ai toute une communauté vers qui me tourner.

D’ailleurs en parallèle, mon implication dans la magie devenait de plus en plus grande, même si j’ai toujours respecté les règles de l’art. Enfin, j’ai tout de même commis une erreur monumentale… J’avais décidé d’invoquer un esprit, que je voyais souvent et qui semblait chercher quelque chose, avoir besoin d’aide. Ma mère m’avait prévenu qu’il dégageait selon elle quelque chose de « trop pathétique pour être honnête ». Mais pour une fois j’ai décidé de ne pas l’écouter. Mal m’en a pris… Le soir même, une nuit forte, une nuit de pleine lune, j’ai appelé à moi cet esprit en perdition. Qui était en fait un esprit vengeur, phénomène peu courant mais particulièrement coriace. Une sombre histoire de vengeance contre un de mes lointains ancêtres, bref un esprit tout ce qu’il y a de plus mal intentionné. J’ai réussi d’abord à le canaliser avec un pentacle et des herbes répulsives et ma mère et mon père m’ont finalement aidé à le renvoyer d’où il venait. Je crois que c’est la seule fois où mes parents m’ont vraiment enguirlander et je les comprend. Leur déception et leur inquiétude a largement suffit à me couper toute envie de tenter d’autres expériences de ce goût là.

A ma sortie de l’université, j’avais alors 24 ans, je me suis penchée sur un autre aspect de la vie surnaturelle. J’avais déjà rencontré d’autres créatures magiques bien entendu, surtout des loups, mais ces autres espèces m’attiraient. J’avais envie d’en apprendre plus sur eux et sur tout ce qui faisait notre monde magique et surnaturel. J’ai là encore rencontré bien des gens, que voulez-vous il n’y a sans doute rien que j’affectionne autant qu’une rencontre, à part peut-être une potion ou un livre particulièrement excellent. Et je me suis intéressée également aux rouages de cet univers souterrain, que tout à chacun côtoie mais ne connaît pas. J’ai découvert l’ensemble des lois qui régissent notre monde, le fonctionnement précis et détaillé d’Amnistia et de l’Assemblée. Si la conception très administrative et efficace de la première ne me plaisait pas plus que cela, la seconde me passionnait. J’admirais cette Assemblée de gens sages et réfléchis, qui assuraient l’entente entre tous et la bonne marche de nos sociétés. Surtout que j’avais à faire à l’une des plus puissantes concentration de pouvoir au monde, St-Pétersbourg n’est pas la Maison Mère pour rien.

Par chance pour moi et ma curiosité piquée à vif, l’année suivante fut celle de nouvelles élections. Cela tombait tous les 10 ans, j’avais eu une veine inouïe sur ce coup là. D’autant que je venais d’atteindre l’âge éligible. J’en ai parlé à Alys, qui m’a encouragé avec enthousiasme, puis à mes parents, qui se sont montrés encourageants eux aussi. Mon père a souligné que je m’ennuierai à mourir dans ces institutions sans âge, au sens propre d’ailleurs vu qu’elle comportait nombre de vampires. Ma mère m’a simplement souligné le fait que me présenter était louable et tout à fait possible, mais que je ne remporterai pas forcément un siège. Le risque de perdre ne m’a jamais effrayé, je ne me présentai pas pour une histoire d’ego, mais parce que je voulais faire partie de cette Assemblée, je voulais aider, protéger, comprendre et innover. Faire entendre ma voix au nom de celles de tous les autres.

Visiblement, ma jeunesse n’a pas été un handicap trop important et j’ai obtenu un nombre de voix qui me place comme la deuxième représentante des sorciers à l’Assemblée. Je me suis découvert une passion certaine pour les arcanes de la politique, bien que l’hypocrisie de ce milieu m’irrite particulièrement. Cela fait maintenant deux ans que je siège à l’Assemblée et j’en suis la plus jeune élue. Même si ce fut un frein au départ et qu’on a mis du temps à me prendre au sérieux, ce qui est compréhensible de la part d’êtres âgés de plus de 500 ans, j’ai fini par trouver ma place. Oh bien sûr, certains me prennent encore pour une gamine utopiste, avec des idées ridicules et absolument pas pragmatiques. En effet, je ne suis pas pragmatique, je suis fantasque, je suis jeune, mais je ne suis pas sotte. Je vois leur manège, je comprend leur but. Ma perspicacité en a étonné plus d’un d’ailleurs. Il ne faut pas me prendre pour une idiote messieurs les loups et les vampires, sachez-le. Enfin, le scepticisme de certains ne m’atteint pas, je sais ce que je vaux et ce que je suis. Si ma franchise et mes valeurs les dérangent tant pis. Je ne changerai pour personne.



« People are Strange... »

« Ah, vous êtes deux ?! Ca tombe bien, nous aussi ! »


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Dernière édition par Léandra E. Wilson le Lun 17 Mai - 18:31, édité 1 fois
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Alys Eireann Juhel
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• Léandra E. Wilson Vide
MessageSujet: Re: • Léandra E. Wilson   • Léandra E. Wilson Icon_minitimeLun 10 Mai - 18:24

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« Il n'y a de sorcellerie que là où l'on y croit, n'y croyez plus et il n'y en aura plus ».
Balthasar Bekker




• Léandra E. Wilson Sorc

« Bonsoir,

Votre rituel d'initiation s'achève ici ! Bravo, vous faites officiellement parti des nôtres à présent ! La sorcellerie n'aura bientôt plus de secret pour vous, nous sommes ravis de vous compter parmi nous !
N'oubliez pas votre manuel des herbes, vos premiers chaudron et balai volant vous sont offerts par la maison ! »




• Léandra E. Wilson Fegac0
(c) Pepper
Au nom de toute ton espèce je me déclare à présent responsable de ta présence parmi nous ! J'espère que tu ne me feras pas regretter ma décision ! N'oublie pas de faire tes fiches de liens et de Rps, maintenant que tu es officiellement validé ! Ca aide à trouver des partenaires avec lesquels jouer ! Si tu as la moindre question, n'oublie pas que tu peux venir me la poser ! Je ne mords pas, contrairement à certains... Je te vois venir... je ne te transformerai pas non plus en crapaud, enfin ! Cela ne plairait guère à mes supérieurs, soyons malins...
Oh mais l'heure tourne, je dois te laisser ! J'ai une tarte à la citrouille au four et une potion à réchauffer !

Bon jeu, et n'oublie pas de t'amuser !

Oh, j'oubliais ! J'ai adoré ta fiche mon enfant, et je t'aime, mon pancake d'amour *w*

Alys E. Juhel

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• Léandra E. Wilson

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